Revue de presse
Ci-dessous, un extrait des critiques parues dans la presse à propos des travaux de Dominique Caillat. Pour lire toutes les critiques, prière de se reporter, dans la barre des menus, directement à l’œuvre concernée.
Littérature
2007 La Paix ou la mort
« Remarquablement écrit… plume extrêmement acérée, sans aucune complaisance, toujours au plus proche de sa conscience. Je ne peux que recommander la lecture de cet ouvrage. »
Jean-Marie Félix sur Espace 2 (« Dare-Dare »)
« La construction même du livre réussit à nous faire pénétrer au cœur du drame car, à la suite de l’auteur – qui a des amis aussi bien Israéliens que Palestiniens – nous rencontrons, alternativement, les uns et les autres […] Et l’émotion surgit !... Beau choix de la construction littéraire à l’objectivité absolue de l’auteur, qui sait garder une distance pour expliquer la situation, s’ajoute un regard bienveillant sur la souffrance des habitants de ce (ces) pays déchirés. Belle écriture qui va à l’essentiel mais en évitant d’être sèche. Les rares dialogues sont justes et le choix du récit narratif permet au lecteur de mettre ses pas dans celui de l’auteur. Ce livre mériterait de rencontrer un large public. Son titre sous forme de constat est une réelle mise en garde. »
Monique Bermond, ancienne journaliste et critique littéraire
« De la philosophe Hannah Arendt, Caillat a retenu que raconter c’est d’emblée mettre en forme, sélectionner. Elle fait un travail qui, à sa manière journalistique, va dans le même sens que celui des Nouveaux historiens israéliens : c’est un travail de démythification et de réancrage des outils de la pensée dans un monde où l’autre, l’interlocuteur avec qui l’espace est en partage, est bien en vue et non l’objet d’une dénégation répulsive / compulsive. De Flaubert, elle a aussi su préserver un mode d’observation, une tonalité encore bien rare aujourd’hui. Ou la mise en œuvre d’une vigilance qui est aussi une leçon d’écriture journalistique, comme une constante attention à contrôler, à cadrer précisément son propre point de vue, pour représenter l’autre et l’ailleurs. »
Bertrand Tappolet dans Gauchehebdo, « Une Terre, du sang, des larmes »
« Les chapitres sont brefs, clairs, et les phrases courtes, bien rythmées (alternance efficace d’entretiens paraphrasés et d’analyses historiques très précises) se gravent profondément dans la mémoire du lecteur… La Paix ou la mort de Dominique Caillat est un livre nécessaire et éclairant. »
Scènes Magazine
« EXCELLENT ! Enfin une femme qui décrit (et de plus admirablement bien) les contradictions du conflit mais surtout des populations impliquées, sans porter de jugement. Il me semble avoir vécu toutes les scènes que vous décrivez et d’avoir entendu tous ces types de discours. […] J’ai trouvé dans votre livre ce que j’aurais voulu écrire. Je vous en remercie ! Je pense le conseiller fortement à ceux de mes étudiants qui lisent le français ! »
Dr. Annick Tonti, professeur à l’Université de la Suisse italienne et ancien chef de la Représentation Suisse auprès de l’Autorité Palestinienne).
« J’ai dévoré ce livre et lui ai trouvé deux ressemblances : 1) avec feu l’éditorialiste de la Tribune de Genève J.-J. Chouet […] qui avait l’art de débrouiller n’importe quel phénomène complexe et rebutant pour le rendre accessible au commun des mortels ; 2) avec le livre de Jasmina Khadra, rendant, lui aussi, exactement comme [Dominique Caillat] tellement irréversible et irrévocable le climat lourd et sans issue de cette partie du monde. »
Marie-Thérèse Pierrehumbert, lectrice (Genève)
« Je viens de finir La Paix ou la mort et je dois dire que j'ai trouvé le livre exceptionnel. Je suis passionné de politique mais, comme beaucoup de français, je ne comprends que peu de choses au conflit israélo-palestinien. Votre livre m'a apporté de réelles notions sur les tenants et les aboutissants de cette tragédie humaine... L'humanité des personnes interviewées est magnifiquement rendue, et la vôtre parvient à faire le lien et à créer une harmonie. J'ai particulièrement apprécié d'être confronté à vos propres doutes, que vous parvenez à faire partager au lecteur afin que celui-ci entreprenne le voyage "initiatique" à vos côtés, un voyage qui ne devrait pas se terminer. Vous ne tombez pas dans le piège de l'objectivité insensible (revendiquée par le journal de vingt heures) ni de la subjectivité sentimentaliste. Le plus beau cadeau que vous faite au lecteur est de lui faire aimer cette terre disputée et les peuples qui y sont installés. »
Jeremy Mahut, doctorant en littérature comparée aux Universités de Reims et de Caen
« Je viens vous dire combien j'ai apprécié votre livre La Paix ou la mort. Depuis le O Jérusalem de Lapierre et Collins, je n'ai rien lu d'aussi clair et en même temps de si différencié que votre livre. »
Marie-Anne Marguerat (Neuchâtel)
Théâtre
« La Confession de Darwin, pièce de Dominique Caillat, réussit le pari de combiner les théories de Darwin et l’art scénique. Elle n’épargne pas Darwin et le rend passionnant… On quitte cette belle salle la tête emplie d’idées, mais aussi d’impressions sensuelles. »
(Joerg Jermann, Basler Zeitung MZ)
« La pièce est géniale de A à Z et elle est tout simplement renversante, tant du point de vue de la biologie évolutive que de sa transposition artistique... Les dimensions sociales et politiques du darwinisme social, de l’eugénisme et de la génétique moderne, et leurs implications pour les générations futures, pour le monde et la vie en général, sont clairement mises en évidence. On constate que l’absurde n’est que tardivement reconnu comme tel, ce qui vaut aussi pour notre époque. »
(Heinz Richner, co-directeur de l’Institute of Ecology and Evolution, Université de Berne)
2007 État de piège
« Depuis soixante ans, le conflit israélo-palestinien est un vrai gâchis, politique et humain. Un constat qui explose à travers État de piège, de Dominique Caillat, pièce bouleversante qui conjugue parfaitement émotion et informations. Et montre, dans sa construction même, comment la violence fait sans cesse irruption dans les processus de négociation. »
Le Temps (« Du Combat au débat »)
« Dominique Caillat possède un véritable talent d’écriture… C’est une illustration qui se fait avec une économie de moyens assez exemplaire sur le plan scénique, mais avec une formidable richesse argumentatrice. Dominique Caillat connaît parfaitement son sujet. Son statut d’observatrice lui permet de considérer cet imbroglio politique à la fois avec sensibilité et intelligence. »
Jean-Marie Félix sur Espace 2 (« Dare-dare »)
« Pièce ambitieuse de Dominique Caillat… réussit son pari d’un message qui nous prend par l’émotion… On est très touché par la sincérité des deux personnages qui sont coincés dans leur logique unique… on est aussi bouleversé par le gâchis humain de tout ce conflit… C’est une pièce qui va très vite, qui dit énormément de choses… et qui surtout a cette énorme charge d’humanité qui permet de mieux cerner cette tragédie à la fois si simple et si compliquée. »
Critique sur Espace 2 (Marie-Pierre Genecand)
2004 Kidnapping
« À l'aide de séquences courtes et d'une bande-son toujours plus menaçante, alternant le comique et le sérieux, la pièce couvre les étapes essentielles du conflit, telle la Guerre des Six Jours et l'assassinat de Rabin, remontant jusqu'aux origines bibliques du problème. La chronique des évènements apparaît clairement comme une succession d'erreurs et de malchances… Caillat parvient à montrer la peur et la détresse de ses personnages, ne craignant pas au besoin l'humour noir. »
(Theater der Zeit)
« Un spectacle aux nombreuses facettes, comique et juste. En 90 minutes, Caillat et son co-metteur en scène Michael Sturm analysent le cycle infernal et apparemment insoluble du conflit du Proche-Orient. »
(Frankfurter Rundschau)
« L'auteur et co-metteur en scène parvient à peindre une situation qui révèle les deux côtés du processus historique, stimulant notre sympathie pour les protagonistes… Grâce à son style expressif et à l'intensité du jeu des comédiens, cette production accomplit beaucoup avec peu de moyens. »
(Rhein-Neckar-Zeitung)
« Kidnapping est une pièce dure, cruelle et brutale parce qu'elle décrit des circonstances dures, cruelles et brutales qui résultent d'une chaîne continue de malentendus sanglants durant de nombreux siècles… Le jeu des acteurs atteint parfois une telle intensité qu'on en a la chair de poule… Dominique Caillat et ses acteurs ont réalisé un spectacle qui choque en même temps qu'il nous donne espoir. »
(Bremer Nachrichten)
« Les nombreux spectateurs ont assisté à une représentation impressionnante, très concentrée, informative et émouvante, grâce notamment au jeu inspiré et engagé des comédiens. »
(Main-Rheiner-Allgemeine Zeitung)
« Kidnapping au théâtre de Lübeck : une soirée marquante. Il valait la peine de voir ce spectacle et de participer à la discussion qui a suivi. »
(hl-live.de)
« Une pièce dynamique et un jeu intense… La constellation de huis clos sartrien, utilisée comme métaphore d'une situation sans issue – donne au jeu des moments de grande intensité. »
(Marburger Neue Zeitung)
2003 Niemandsland
« Cette pièce, à la fois sensible et percutante, qui pousse à la réflexion sans montrer du doigt tout en étant incroyablement excitante et distrayante, mérite de faire salle comble… Formidablement mise en scène par l’auteur, Dominique Caillat… Le public est enthousiaste… beaucoup d’épisodes comiques… les problèmes thématisés sont tirés du quotidien … suscite une profusion d’émotions contradictoires… »
(Rheinzeitung Koblenz).
1999 Prologue, scène et épilogue pour Brundibár (opéra de Hans Krása)
« Un prologue extrêmement intelligent et inventif de Dominique Caillat… À l’Opéra de Chambre de Vienne, on n’apprend pas seulement l’histoire du méchant joueur de vielle Brundibár, qui vole leur argent aux enfants, mais aussi l’Histoire proprement dite… Lorsque la mère fait finalement le vœu, en regardant le ciel, que plus jamais les étoiles ne doivent être portées, le rideau tombe sur une production parfaitement réussie, dont chaque instant est émouvant. »
(Kurier)
« Théâtre imaginatif de haut vol… Récit-cadre ingénieux de Dominique Caillat… une production idéale… parvient à emplir d’élan et de joie une histoire terriblement sérieuse. »
(Neue Kronen Zeitung)
« Grâce au pouvoir de l’imaginaire, les enfants surmontent leur paralysie dans la réalité… Une rencontre émouvante avec l’Histoire contemporaine. »
(Der Standard)
1998 Wir gehören zusammen (eine Nachkriegsballade)
« Caléidoscope de destins… Chansons étonnamment emplies de symboles…musique décapante… légèreté rafraîchissante. »
(Rheinzeitung Feuilleton)
« Une pièce étonnante…Une mise en scène réussie… Des personnages auxquels souvent les mots manquent, où le langage de corps et les chansons expriment plus que tout le reste… Souvent, le spectateur a froid dans le dos. »
(Rheinzeitung Koblenz)
« Les acteurs se sont plongés à fond dans la thématique des destins de guerre et on assiste à une véritable séance de théâtre psychologique… Une performance convaincante des jeunes comédiens du “Theater in der Vorburg”. »
(Bonner Generalanzeiger Feuilleton)
« Les jeunes comédiens maîtrisent une matière difficile avec brio… le public du festival applaudit à tout rompre. »
(Rheinzeitung Mayen)
« Un spectacle qui rentre dans la peau. »
(Stadtzeitung Andernach)
« Dominique Caillat: héroïne de la pédagogie théâtrale... Précise, énergique et intransigeante... Jouer à en perdre l'haleine. »
(Die Zeit no.15/98)
« Une pièce bien écrite et d’une excellente dramaturgie... C'est à la fois du théâtre et une interprétation remarquable et exemplaire de l'histoire de notre temps... Les techniques du théâtre sont parfaitement mises en oeuvre... Les comédiens jouent comme seuls les enfants le peuvent, avec naïveté, de façon parfaitement naturelle et directe: l'effet est foudroyant. »
(S2 Kultur Aktuell)
« Leb wohl, Schmetterling – une remarquable performance de la part des comédiens - pour le spectateur une profonde expérience... Moments d'extraordinaire poésie... Les interruptions humoristiques, jamais plates, sont un cri désespéré d'amour et de volonté de vivre. »
(SWF 4 Blickpunkt)
« Une pièce didactique accablante, qui rappelle les crimes allemands en racontant la volonté de vivre des condamnés à mort…Au milieu de la misère du camp : la culture, la musique, le théâtre, le jeu et un grand amour tragique… Les descendants de la troisième génération confrontent le passé comme on l’a en vain attendu des Allemands après la guerre. »
( Rheinzeitung Feuilleton)
« Avec une énorme force d’expression et intensité de jeu, les jeunes acteurs parviennent à faire revivre l’atmosphère du ghetto, avec le passage incessant de l’espoir à l’effondrement, du courage de vivre à l’abandon… Dominique Caillat transpose ce sujet sensible avec tact mais de façon percutante sur scène, sans sombrer dans la trivialité. Les jeunes comédiens maîtrisent avec bravoure un jeu plein d’émotion met évitant toute sentimentalité excessive – de toute évidence grâce à une préparation intense et une étude approfondie du contexte historique… On admire la brillante performance des acteurs et ressent un apaisement intérieur à la vue de cette autre, jeune génération d’Allemands. »
(Israel Nachrichten)
« J’ai trouvé la pièce très, très bonne. C’est incroyable car ce thème est extrêmement difficile à traiter. J’ai déjà vu plusieurs pièces sur le sujet mais aucune n’était aussi bonne que celle-ci… Et c’est justement son interprétation par des enfants et adolescents qui lui permet d’atteindre une autre dimension… »
(Radio Prague : Interview d’Eva Herrmannová, ex-directrice générale du Théâtre national de Prague)
« Une histoire oppressante, exaltante, dépouillée, vivante, triste et déchirante sur le "ghetto culturel" de Theresienstadt, jouée sur scène par des enfants et des adolescents de façon professionnelle et emplie d’émotion. »
(Kulturinfo Koblenz)
« Une représentation de théâtre impressionnante… Une pièce remarquable… une intensité de jeu incroyable… Le jeu des jeunes acteurs entraînait une fascination qu’on ne rencontre que rarement aujourd’hui… Leb wohl, Schmetterling est à la fois un acte de confrontation exemplaire du passé et la transmission de l’héritage culturel des victimes du national-socialisme. Si Schindler’s List a été conseillé aux classes scolaires, Leb wohl, Schmetterling devrait être obligatoire. »
(Presse régionale de Coblence, Mayen, Andernach et Bendorf).
« C’est quelque chose pour la télévision. La pièce est jouée par des adolescents, mais ils sont si convaincants qu’on ne peut absolument pas douter de la véracité des faits. A mon avis on ne peut qu’admirer la manière dont Dominique Caillat a réussi à connaître à ce point la réalité et à la représenter. Chaque réplique, chaque mot est vrai. Les temps étaient comme cela. »
(Jan Jecha, rescapé de Theresienstadt et Auschwitz, dans l’émission radiophonique « Lieder, Leute, Landschaften », SWF4)
« J’ai besoin de vous dire à quel point la représentation de Leb wohl, Schmetterling m’a émue. J’ai été transportée à nouveau au temps de l’horreur, de la détresse et de la peur du jour suivant. Votre représentation a montré cela de façon si sensible, si consciente de l’essentiel, et les acteurs, dirigés par vous avec une telle attention, ont donné leur maximum. J’aimerais vous remercier du fond de l’âme pour cette expérience forte. »
(U. Geibel, rescapée juive)
« Toutes les victimes de l’époque présentes ce soir, qui ont vu bien des tentatives de traiter l’histoire sur un plan artistique, sont d’accord que Leb wohl, Schmetterling est l’une des plus réussies. Nous voulons trouver le moyen de faire venir cette merveilleuse compagnie d’enfants et d’adolescents en République Tchèque. »
(Anna Lorencová, Eva Herrmannová, Anna Hyndráková et Olga Hošková anciennes déportées de Theresienstadt).
« Une production hors du commun… Une pièce impressionnante, jouée par des enfants et adolescents avec une intensité incroyable… Le jury a été séduit par le traitement approfondi du sujet, par la mise en scène captivante, émouvante, jamais superficielle ni exagérée, ainsi que la performance convaincante des acteurs… Il ne faut pas décrire Leb wohl, Schmetterling, il faut le voir… C’est avec une admiration et un respect profond que nous décernons au « Theater in der Vorburg », représenté par l’auteur et metteur en scène Dominique Caillat, le Prix 1998 de la Jeune Culture de Rhénanie-Palatinat. »
(Dr. Rose Götte, Ministre de la Culture de Rhénanie-Palatinat, extrait des motifs du jury, 7. Sept. 1998)
« J’ai été enthousiasmé… La représentation et la pièce en soi sont une expérience intellectuelle et émotive profonde. »
(Avi Primor, ambassadeur d’Israël en Allemagne)
1996 Die Dreigroschenoper (Brecht/Weil), mise en scène D. Caillat
« Brecht de choc en tournée… Succès brechtien dans l’Été de la Culture !... Dynamique, saisissant, sensible… Une performance d’ensemble remarquable pour des nouveaux-venus. »
(Rheinzeitung Feuilleton)
« Highlight de l’Été de la Culture… Salle comble… Représentation captivante. »
(Rheinzeitung Nassau)
« L’interprétation de Caillat est un régal pour les yeux et pour les oreilles… Le public était enthousiaste. »
(Rheinzeitung Koblenz)
1996 Brunos Traum
«La mise en scène a enthousiasmé le public. »
(Rheinzeitung Mainz)
« Performance remarquable des comédiens, histoire enchanteresse, pleine de fantaisie et d’esprit. »
(Rheinzeitung Koblenz)
« C’était un enchantement. Dominique Caillat a créé avec Brunos Traum une apothéose du mythe Mozart. »
(Rheinzeitung Andernach)
1995 Ein Schloss erzählt
« Mise en scène légère et dynamique… scènes expressives… grande intensité de jeu… Applaudissements à tout rompre. »
(Rheinzeitung Neuwied/Andernach)
1994 Les Misérables
« Une faiseuse de théâtre de calibre professionnel… Dominique Caillat tourbillonne sans interruption entre la scène, la technique et la salle, comme animée d’un moteur turbo … elle travaille avec une grande concentration, précision et énergie. »
(Rheinzeitung Feuilleton)
1993 Caspar Hauser
«Une représentation sensible… La mise en scène de Dominique Caillat est remarquable, renonçant à tout effet de scène pour focaliser toute l’attention sur le centre de la tragédie… »
(Rheinzeitung Andernach)
Visites scéniques
« Trêves a un nouveau héros : c’est homme fort a pour nom Valerius. Il a survécu autrefois à cinq années de durs combats et nous parle aujourd’hui de duels, dans lesquels l’épée et la lance comptaient plus que les mots acérés… Les spectateurs sont fascinés. Entre temps, tout le monde à Trêves a entendu parler du plus intelligent spectacle historique de la ville. On fait souvent la queue en vain, car les visites affichent complet longtemps à l’avance. »
(Trierischer Volksfreund)
« Un “guide“ très particulier, mis en scène comme un acteur de théâtre. Hauts faits, gloire, bagarres et coups de canons : en 90 minutes se déroulent rien moins que mille ans dans les fossés et les casemates de la forteresse d’Ehrenbreitstein, à Coblence – un one man show fait de scènes efficaces et captivantes. »
(Rheinzeitung Feuilleton)
« Honneur, gloire, misère et mort, 1000 ans d’histoire durent à Ehrenbreitstein seulement 90 minutes. L’auteur et metteur en scène Dominique a rendu cela possible… l’histoire est serrée, transmise avec peu de moyens et les effets sont d’autant plus efficaces… Le frisson fait partie du jeu : Dominique Caillat produit le cadavre de la forteresse, joue de façon raffinée avec les lumières et la pénombre, tandis que vents, chuchotements et musiques lointaines emplissent les galeries souterraines et les casemates voûtées. »
(Rheinzeitung Koblenz)
« La Muse de Stolzenfels est un one-woman-show de haute tenue littéraire et dramatique, qui oblige la très talentueuse Mira Naß à montrer toutes les facettes de son art… Dominique Caillat trace un portrait éloquent des mœurs de l’époque ancienne, s’intéressant à la noblesse et au manant, parlant de fastes luxueux et de plaisirs populaires… Le public de la première, sous le charme, applaudit longuement. »
(Rheinzeitung Koblenz)