La paix ou la mort
Dans les coulisses du drame israélo-palestinien
Critiques
« Remarquablement écrit… plume extrêmement acérée, sans aucune complaisance, toujours au plus proche de sa conscience. Je ne peux que recommander la lecture de cet ouvrage. »
Jean-Marie Félix sur Espace 2 (« Dare-Dare »)
« La construction même du livre réussit à nous faire pénétrer au cœur du drame car, à la suite de l’auteur – qui a des amis aussi bien Israéliens que Palestiniens – nous rencontrons, alternativement, les uns et les autres […] Et l’émotion surgit !... Beau choix de la construction littéraire à laquelle l’objectivité absolue de l’auteur, qui sait tout à la fois garder une distance pour expliquer la situation, s’ajoute un regard bienveillant sur la souffrance des habitants de ce (ces) pays déchirés. Belle écriture qui va à l’essentiel mais en évitant d’être sèche. Les rares dialogues sont justes et le choix du récit narratif permet au lecteur de mettre ses pas dans celui de l’auteur. Ce livre mériterait de rencontrer un large public. Son titre sous forme de constat est une réelle mise en garde. »
Monique Bermond, ancienne journaliste et critique littéraire.
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« De la philosophe Hannah Arendt, Caillat a retenu que raconter c’est d’emblée mettre en forme, sélectionner. Elle fait un travail qui, à sa manière journalistique, va dans le même sens que celui des Nouveaux historiens israéliens : c’est un travail de démythification et de réancrage des outils de la pensée dans un monde où l’autre, l’interlocuteur avec qui l’espace est en partage, est bien en vue et non l’objet d’une dénégation répulsive / compulsive. De Flaubert, elle a aussi su préserver un mode d’observation, une tonalité encore bien rare aujourd’hui. Ou la mise en œuvre d’une vigilance qui est aussi une leçon d’écriture journalistique, comme une constante attention à contrôler, à cadrer précisément son propre point de vue, pour représenter l’autre et l’ailleurs. »
Bertrand Tappolet dans Gauchehebdo, « Une Terre, du sang, des larmes », 14.12.2007.
« EXCELLENT ! Enfin une femme qui décrit (et de plus admirablement bien) les contradictions du conflit mais surtout des populations impliquées, sans porter de jugement. Il me semble avoir vécu toutes les scènes que vous décrivez et d’avoir entendu tous ces types de discours. […] J’ai trouvé dans votre livre ce que j’aurais voulu écrire. Je vous en remercie ! Je pense le conseiller fortement à ceux de mes étudiants qui lisent le français ! »
Dr. Annick Tonti, professeur à l’Université de la Suisse italienne et ancien chef de la Représentation Suisse auprès de l’Autorité Palestinienne).
« J’ai dévoré ce livre et lui ai trouvé deux ressemblances : 1) avec feu l’éditorialiste de la Tribune de Genève J.-J. Chouet […] qui avait l’art de débrouiller n’importe quel phénomène complexe et rebutant pour le rendre accessible au commun des mortels ; 2) avec le livre de Jasmina Khadra, rendant, lui aussi, exactement comme [Dominique Caillat] tellement irréversible et irrévocable le climat lourd et sans issue de cette partie du monde. »
Marie-Thérèse Pierrehumbert, lectrice (Genève)